Je m’appelle Christine Turgeon. Je suis passionnée de littérature et d’écriture, verbomoteur aux silences prolongés, Québécoise d’origine et Canadienne ambulante, enseignante en français et rédactrice.
J’ai terminé en 2019 un mémoire de maitrise en recherche-création portant sur les sourds dans le roman contemporain. Je rêve de maitriser une langue de signes afin de découvrir quel impact celle-ci aurait sur ma façon de penser, de voir le monde et d’écrire. J’ai suivi deux cours de ASL pour le plaisir de m’immerger, puis j’ai réalisé qu’il me faudrait beaucoup de temps pour devenir une locutrice fluide. Un projet pour le futur, peut-être?
Adepte de critique littéraire, j’ai créé ce blogue en 2012 (autrefois à une autre adresse), et j’ai collaboré au webzine Les Méconnus de 2017 à 2019. Mes intérêts sont éclectiques et mes articles portent donc sur des ouvrages aux thématiques variées.
Publications
- « Sauter », nouvelle littéraire, Revue Caractère : Vertiges, 2015
- « Gatineau, la bleue », nouvelle littéraire, Des nouvelles de Gatineau, vol. 4 : Gatineau haute en couleurs, 2015
- « Le théâtre en l’honneur de Gary », article, CLUM La revue littéraire, édition no2, 2015
- « Quand le ciel se déchire », Prix littéraire Damase-Potvin, 2015
- « Faire dialoguer le muet : la mise en scène de la parole dans Un crabe dans la tête d’André Turpin », Nouvelles Vues, no19 : Le dialogue au cinéma, hiver 2018
- « La voix sourde : métaphore du silence et de la voix dans le film Un crabe dans la tête d’André Turpin », Actes de colloque, Université de Lorraine, Nancy, 2019
- « La dérive en miroir: le dessaisissement du personnage dans Compression de Nicolas Bouyssi », dans Portés disparus: précarités humaines dans le roman d’enquête contemporain. Cahier ReMix, n° 14 (04/2021). Chicoutimi, Université du Québec à Chicoutimi : Figura, le Centre de recherche sur le texte et l’imaginaire. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <http://oic.uqam.ca/fr/remix/la-derive-en-miroir-le-dessaisissement-du-personnage-dans-compression-de-nicolas-bouyssi>