Ce soir, je suis allée lire à la plage. S’il y a un lieu au monde où je me sens chez moi, c’est bien sur cette plage (une plage publique, oui, c’est une superbe contradiction).
Notez sur ces photos, les belles traces de joyeux oiseaux qui les rendaient présents malgré leur absence.
Et mes joyeux orteils…
Puis le ciel, quand il a commencé à se faire menaçant…
Mes orteils, Romain Gary et moi sommes finalement rentrés à la maison de peur que l’averse se verse sur nous. (Ça parait quand même un peu que je viens de lire Daniel Pennac, non? Pourquoi? Vous êtes capables de trouver la réponse tout seuls.)